Archives pour la catégorie tricot

Primula socks

Cet hiver, en février plus précisément, sont sorties les mitaines Primula. J’ai alors reçu un commentaire sur Instagram: « Et pourquoi pas des chaussettes Primula? ». L’idée a rapidement fait son chemin et quelques mois plus tard, voici les Primula socks !

Ces chaussettes ont donc un motif similaire (mais pas tout à fait identique) à celui des mitaines. Elles se tricotent des orteils vers les mollets, avec le motif sur le dessus et le devant du pied. Le talon est formé par un gousset suivi d’un talon renforcé en « oeil de perdrix ».

Il s’agit d’un motif très simple ; il est expliqué par diagramme. Il y a aussi une sorte de motif miniature à l’arrière du pied.

Elles sont disponibles en 5 tailles (S/M/L/XL/2XL) calculées en fonction de la largeur du pied: 20 (22/24/26/28) cm de circonférence, mesurée à l’endroit le plus large, soit au début des orteils. Et 11 pointures : 35, 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 45.

Il vous faudra entre 250 et 400 mètres de laine à chaussettes fingering. Pour les miennes, j’ai utilisé la laine Chaussettes de (Vi)laines, dans le coloris Cétacé.

Je les adore ! J’ai presque hâte que le temps se refroidisse pour pouvoir les porter.

Septembre est le mois de mon anniversaire. Cette année, j’ai décidé de ne pas faire une semaine anniversaire, mais un MOIS entier ! Il va donc y avoir tout plein de sorties de nouveaux modèles et de promotion pendant tout le mois de septembre. Primula socks est le premier modèle de cette série et pour fêter sa sortie, je vous offre 30% de réduction sur tous mes modèles de chaussettes, à retrouver sur Ravelry, jusqu’au 8 septembre inclus. Le 9 septembre, un nouveau modèle sortira…

Simiane cardigan

Après le pull, sorti la semaine dernière, je vous avais promis le gilet. Le voici !

Je ne vais pas faire un article très long, car ce gilet reprend beaucoup d’éléments du pull. C’est la même construction, de haut en bas, avec des emmanchures raglan et sans couture. On retrouve évidemment le même motif de rangs en jersey envers à un rythme différent sur les manches et sur le corps. La principale différence tient à la présence d’une bande de boutonnage sur le devant – normal, c’est un gilet !

Le motif de « rayures » en jersey envers est toujours aussi addictif, il est difficile de lâcher son tricot avant d’arriver à la prochaine « rayure », et puis encore une, etc.

Comme le pull, le gilet est disponible en tailles enfants (du 2 au 12 ans), femmes et hommes.

Cette fois, je n’ai fait qu’un exemplaire : en taille enfant, 10 ans. Il est tricoté en Karisma de Drops. Je l’ai offert à un de mes neveux.

J’envisage de m’en faire un aussi, mais je n’ai pas encore eu le temps. Je prévois de le faire en Chaussettes DK de (Vi)laines. Ce sera mon gilet d’automne…

Pour le métrage, il en faut un peu plus que pour le pull (toujours en fil de grosseur DK):

  • tailles enfants: 500/525 (550/600/650/700) mètres
  • tailles femmes: 700/750/800 (850/900 /950/1000/1050) mètres
  • tailles hommes: 1000/1050 (1100/1175/1250/1325/ 1400) mètres

Et 7 boutons.

Ce modèle est en promotion (-20%) jusqu’au 24 juillet sur Ravelry et Payhip avec le code « simiane » et de ce fait, j’étends la promotion en cours sur le pull Simiane jusqu’à cette date (avec le même code).

Vous préférez le gilet ou le pull ? Ou les deux ?

Simiane sweater

Je vous présente mon dernier modèle : le pull Simiane.

Son nom et son motif m’ont été inspirés par les champs de lavande qui se déploient au pied du village de Simiane-la-Rotonde. Si vous ne connaissez pas cet endroit, je vous conseille vivement d’y aller un jour…

Simiane est un pull disponible en tailles enfants, adultes femmes et hommes. Il y en a donc pour toute la famille.

Pour les enfants, les tailles disponibles sont 2, 4, 6, 8, 10 et 12 ans. Les tailles femmes vont du 80 au 112 cm de tour de poitrine (pour le pull fini, donc du 85 au 120 pour votre tour de poitrine). Les tailles hommes : 99 à 133,5 cm de tour de poitrine.

En plus, il est proposé avec des manches longues et des manches courtes. Pour tout vous dire, j’ai d’abord travaillé sur la version manches longues et l’été approchant, j’ai eu envie d’essayer avec des manches courtes. Et cette version m’a beaucoup plu ! D’ailleurs, je le porte souvent en ce moment mon petit pull manches courtes.

Simiane se tricote avec un fil de grosseur DK, donc vous pouvez avoir votre petit pull d’été très rapidement, ou bien préparer l’automne tranquillement pendant vos vacances.

Tout repose sur un jeu de rangs envers qui se font à un rythme différent sur les manches et le corps. Ces rangs envers fonctionnent comme des rayures et, comme elles, ils rendent la progression de ce tricot ludique et addictive.

Ce pull se tricote de haut en bas, avec des emmanchures raglan, tout en rond, sans couture. Vous pouvez l’essayer (ou le faire essayer) au fur et à mesure de votre avancée.

J’ai fait trois exemplaires de ce modèle: le pull manches longues pour moi, le pull manches courtes pour moi aussi, et une version manches longues pour mon papa (que je lui ai offert à la fête des pères):

Pour mon pull manches longues, j’ai utilisé l’Intrépides DK de (Vi)laines, dans un coloris absolument sublime : L’émail des étoiles. En plus, ce fil, Intrépides DK, est vraiment très doux. Je sens que ce pull sera un de mes favoris pendant la saison automne-hiver prochaine.

Pour ma version manches courtes, j’ai choisi un fil que j’avais depuis un certain temps en stock : le Cotton DK de paintbox yarns. Il se tricote très facilement et est très agréable à porter. Je peux en témoigner, car si je n’ai porté la version manches longues que pour les essayages et les photos, j’ai en revanche déjà pas mal porté la version estivale !

Et pour mon papa, j’ai pris de la Lima de Drops, un fil bien chaud, pour ce pull qu’il portera l’hiver prochain.

On peut donc réaliser ce modèle dans plein de fils différents ! En ce qui concerne les métrages: pour la version manches courtes, il vous faudra entre 475 et 1325 mètres; pour la version manches longues, entre 550 et 1800 mètres. Les métrages nécessaires à chaque taille sont détaillés dans les explications ou sur Ravelry.

Pour fêter cette sortie, le modèle Simiane sweater est à -20% sur Ravelry et Payhip jusqu’au 15 juillet, avec le code « simiane ».

Et je vous annonce déjà que dans quelques jours va sortir le gilet Simiane !

Campanelle

Il semblerait que l’été soit enfin arrivé – on y croit, on y croit !

C’est donc le moment parfait pour enfiler son nouveau top d’été. Le mien s’appelle Campanelle et je vous invite à découvrir ce nouveau modèle.

J’ai voulu un top simple et raffiné, facile à réaliser et à porter, avec juste ce qu’il faut de détails pour le rendre unique. Ces petits détails, se sont ces finitions en icord nouée à l’encolure, aux manches et en bas du corps à gauche.

Campanelle se tricote de haut en bas, en rond et sans couture. Il se tricote en jersey endroit et est légèrement évasé sur les hanches grâce à quelques augmentations faites dans le bas du corps.

Il y a 8 tailles disponibles, du XS au 4XL. Le tour de poitrine du top fini est de 78,5/81,5/86 (92/98/104/109,5/115,5) cm. Il faut compter 5 à 10 cm d’aisance négative.

Pour le tricoter, j’ai choisi le fil Aurore, une nouvelle base de Les laines du scarabée, que j’ai testée à cette occasion et qui m’a vraiment ravie. Elle est très agréable à tricoter et je sens que je vais la porter avec plaisir pendant tout l’été.

Pour tricoter Campanelle, il vous faudra 750/775/800 (850/900/950/1000/1100) mètres de fil fingering ou light fingering.

Pour fêter la sortie de ce modèle, j’ai décidé de vous offrir 20% de réduction sur tous mes modèles de top d’été, soit, en plus de Campanelle : Kelibia (girls et women), Caramy, Tabarka, In the mood for summer et Ressac top. Cette réduction est valable jusqu’au 15 juin sur Ravelry et Payhip, avec le code « tee24 ».

De la couleur !

J’ai lu récemment qu’une créatrice de modèles de tricot qui rencontre un grand succès choisissait à dessein des couleurs neutres (beige, gris) pour ses prototypes, ce qui permettait au plus grand nombre de se projeter dans ses modèles.

Lorsque je suis allée en Corée du sud l’an dernier, on m’a dit que l’on voyait tout de suite que je n’étais pas coréenne, avant même de voir mon visage, parce que j’avais un manteau rouge. Les Coréens et les Coréennes, eux, s’habillent toujours de couleurs neutres, du gris, du beige, pour ne pas se démarquer.

Je m’insurge contre cette mode des couleurs fades, ou plutôt des non-couleurs. Bien sûr, il y a de beaux gris et de beaux beiges. D’ailleurs, je suis en train de tricoter un gilet en gris – mais un gris avec plein de nuances (c’est le coloris Ecosse de Lylysurunfil). Mais je trouve qu’on s’interdit trop souvent de porter des choses colorées. Et pourtant, c’est plus gai, non ?

Je n’aime pas cette mode uniformisée, où tout le monde s’habille partout pareil. Je ne me suis jamais habillée tout en noir, ni en gris, et si je porte parfois ces couleurs, c’est toujours associée à une autre (par exemple un pantalon noir avec un chemisier coloré ou un pull rouge).

Il y a tellement de couleurs et de nuances différentes que c’est un plaisir de jouer avec, de les associer en fonction de son humeur ou de ses envies. Pourquoi se fondre dans la masse, quand on peut au contraire s’affirmer avec parfois juste une touche de couleur ?

Lors de mon dernier voyage en Tunisie, j’ai pu aller au salon du livre de Tunis qui avait lieu à ce moment-là. J’y ai trouvé ce livre :

Il s’agit d’une réédition d’un livre publié en 1978. Il est richement illustré de dessins très inspirants. Dans la préface de cette réédition, Raja Ben Slama écrit : « En préparant la réédition de l’ouvrage, je me suis plongée dans l’entreprise de comprendre comment s’est construit et étendu l’empire hégémonique de la Robe noire en France. Le processus fait en effet partie des multiples mouvements qui ont accompagné la construction des Temps modernes. Le « grand renoncement » aux couleurs imposé aux hommes, mais aussi aux femmes par une modernité inspirée, à l’insu de ses acteurs, par une austérité protestante et un puritanisme bourgeois a instauré le règne de la monochromie contre lequel il est devenu difficile de résister. L’hégémonie de cette tendance anti-couleurs s’est étendue sur les coutumes vestimentaires des pays du pourtour méditerranéen. » Les pages d’illustrations de l’ouvrage, montrant des costumes traditionnels richement colorés, encore portés dans la première moitié du XXe siècle, ou lors des mariages, confirment pleinement ces propos.

Et j’y souscris entièrement; ils correspondent parfaitement à ce que je ressens. Le terme de « renoncement » aux couleurs est particulièrement bien trouvé. Pour ma part, je refuse de renoncer à la couleur, à la diversité.

Tous mes modèles peuvent bien entendu être tricotés dans la/les couleur/s de votre choix. Certains modèles invitent particulièrement à jouer avec les couleurs:

  • le pull Duettino, que ce soit en version sport ou dk:
  • le châle Ecumes:
  • ou le châle Anglesqueville
  • l’étole Jogakbo, sortie il y a quelques semaines
  • le top d’été Caramy
  • le pull Septentrio
  • etc.

Tous ces modèles sont disponibles sur Ravelry et Payhip (sauf l’étole pour le dernier site).

Mettons plein de couleurs dans la vie !

Asteracée

Et voici mon nouveau modèle : Astéracée !

Il s’agit d’un gilet pour femme, avec un devant asymétrique et un joli panneau de dentelle sur le devant et le dos.

Il se tricote de haut en bas, avec des emmanchures raglan. L’encolure devant est bien dégagée.

Le motif, expliqué par diagramme, est simple et facile à retenir. Il me fait penser à des tissus travaillés de la Renaissance italienne.

Ce gilet est disponible en 7 tailles, de 86 à 115 cm de tour de poitrine pour le gilet fini.

Il se tricote en fil DK. J’ai choisi la Abri DK de La Pelote Vagabonde, dans le coloris Golden hour, un orangé doux et lumineux, parfait pour apporter un peu de soleil dans ce printemps très versatile…

Il vous en faudra de 925 à 1250 mètres en fonction de la taille. Ainsi que 7 boutons.

Jusqu’à la fin du mois d’avril, ce gilet est à -20% sur Ravelry et Payhip avec le code « Aster » !

Kahina

Vous avez peut-être déjà aperçu ce modèle à l’automne dernier, lors de sa sortie dans le 3e numéro du magazine Knitness. A partir d’aujourd’hui, il est aussi disponible sur Ravelry et sur Payhip, en individuel !

Kahina est un pull pour femme tricoté de bas en haut, en rond jusqu’aux emmanchures, puis en aller-retour pour les hauts du devant et du dos. Une fois les épaules jointes, des mailles sont relevées pour les manches, tricotées en rond et des emmanchures aux poignets.

Le devant et le dos comportent un motif de torsades et de dentelles qui se retient facilement et viennent rythmer le tricot. Les manches sont en jersey endroit.

Ce pull se tricote avec un fil mohair et soie tricoté en double. Pour créer ce modèle, j’ai eu la chance de recevoir le fil Petit Duvet de Le Chat qui tricote, dans le coloris « Caramel », une vraie douceur. En fonction de la taille, il vous en faudra entre 1700 et 3000 mètres.

Les tailles de ce pull sont déterminées par le tour de hanches. Il faut mesurer le tour de hanches sur le haut des hanches, pas au plus large des fesses, mais juste au-dessus. C’est là que le pull viendra se poser. Le pull est conçu pour être porté avec 10 cm d’aisance positive. Les tailles vont de 85 à 150 cm de tour de hanches.

D’où vient le nom de ce modèle ? Kahina est le nom d’une reine guerrière berbère qui a combattu les conquérants arabes au VIIe siècle.

L’association entre torsades et points ajourés, ainsi que la forme du pull (en A inversé) rendent cette pièce originale et inhabituelle. La légèreté du mohair et la dentelle contrastent avec le moelleux des torsades et font de ce pull un vêtement à la fois audacieux et douillet, qui mettra en avant la femme fière qui le portera.

Jusqu’au 15 avril, vous avez droit à 20% de réduction sur ce modèle, sur Ravelry et Payhip, avec le code « kahina » !

Tricot en anglais et faux-amis

Si vous avez l’habitude de surfer sur Ravelry à la recherche de nouveaux modèles, vous devez sûrement naviguer entre le français et l’anglais. Ravelry permet de trouver toutes sortes de modèles grâce à des mots-clés. Encore faut-il savoir lesquels employer pour être sûr de trouver ce qu’on cherche.

Un problème similaire se pose à nous, designers, quand nous entrons nos modèles sur la plateforme et que nous devons leur assigner des mots-clés. J’ai évoqué il n’y a pas longtemps la question du gilet/cardigan. Je vais aujourd’hui vous parler des pulls sans manches…

Pull sans manche, cela peut se traduire littéralement par « sleeveless sweater ». On trouve bien cette catégorie dans Ravelry et c’est celle que j’avais choisie initialement pour mon dernier modèle sorti, le pull Pas peur du loup.

Mais en anglais on a aussi le mot « vest ». Attention, il ne faut pas le traduire par le français veste. En anglais, « vest » est un débardeur ; pour traduire le mot français veste, en emploie « jacket ».

Pour mon modèle Nigelle vest, j’avais choisi le terme « vest ». C’est donc aussi un pull sans manches.

A vrai dire, je ne vois pas bien la différence entre vest et sleeveless sweater, sauf que le deuxième est plus explicite et descriptif. Peut-être la différence entre les deux tient-elle aux différences d’usage entre l’anglais d’Angleterre et l’anglais des Etats-Unis ? Si quelqu’un a la réponse, je suis preneuse.

Mais on a aussi le mot anglais « slipover ». Il me semble que ce mot est récent, formé, un peu comme « pullover », du verbe « slip » et de la préposition « over ». Un slipover est littéralement un vêtement que l’on glisse par-dessus, qu’on enfile vite fait avant de sortir, tandis que le pullover est un vêtement sur lequel on doit un peu tirer pour arriver à l’enfiler. Haha !! Vous vous souvenez des pullovers qui étaient difficiles à enfiler quand vous étiez petits, parce que la tête avait du mal à passer? Sinon, un pullover a des manches, mais pas un slipover, que l’on peut donc aussi traduire par pull sans manches.

Vous suivez ? Cela nous fait 3 traductions possibles pour pull sans manches: sleeveless sweater, vest et slipover. On peut noter au passage que le français n’est pas très précis non plus : soit « pull sans manches », une expression formée de trois mots, soit « débardeur », mot qui peut aussi renvoyer à autre chose.

Avec tout ça, je me suis demandée quel mot-clé je devais attribuer à mon modèle Tartanesque (for men), qui est un gilet sans manches, boutonné devant. C’est un gilet, puisque boutonné, mais sans manches. La catégorie « sleeveless cardigan » n’existe pas dans Ravelry, c’est pourtant celle qui décrirait le mieux ce modèle. J’ai donc choisi « vest ». Ce terme doit faire l’affaire, puisque je n’ai pas reçu de message de la part des modérateurs de Ravelry qui vérifient que les nouveaux modèles sont correctement référencés. Mais je ne suis pas sûre qu’il convienne parfaitement…

La prochaine fois, je vous parlerai des bonnets, béguins et autres tuques… Un vrai casse-tête !

NB: tous les modèles présentés ci-dessus sont à retrouver sur Ravelry ou Payhip.

Primula

Le printemps arrive, mais il fait encore un peu frisquet et c’est agréable d’avoir une jolie paire de mitaines pour sortir le matin !

Les mitaines Primula sont parfaites pour la mi-saison. Tricotées en fil fingering, elles sont fines et légères, avec un joli motif de dentelle sur le dessus de la main.

J’en ai tricoté deux exemplaires: une paire pour moi et l’autre pour une amie.

La mienne a été tricotée en Chaussettes fing de (Vi)laines, dans le coloris « A la pêche aux coquillage », des tons bleu-vert comme j’adore. L’autre paire est en M&S fing, toujours de (Vi)laines, dans le coloris « Malabar sous la table ».

Ces mitaines se tricotent en commençant par le poignet. Elles comportent une bordure repliée sur les doigts.

Le motif, très facile, est expliqué par diagramme.

Ces mitaines sont disponibles en 4 tailles : S, M, L et XL, en fonction de la largeur de la main.

J’ai profité des fleurs de mon jardin pour prendre des photos: les jonquilles et l’abricotier.

Ces mitaines sont à -20 % jusqu’au 5 mars avec le code « primula » sur Ravelry et Payhip !

Jogakbo stole

Ce week-end, est sorti un nouveau modèle. Il s’agit d’une étole d’inspiration coréenne : Jogakbo.

Ce modèle est sorti dans le magazine en ligne Knotions, où il est en exclusivité pendant 3 mois.

Je me suis inspirée de la technique du Pojagi, une sorte de patchwork coréen, souvent réalisé avec des tissus fins et translucides, comme du lin ou de la soie.

Pour retrouver ce côté léger et translucide, j’ai utilisé un fil mohair et soie, la kidsilk de Drops. L’exemplaire ayant servi aux photos du magazine Knotions a été réalisé en Berroco Aerial.

Ci-dessus: mon exemplaire, tricoté dans des tons pastels.

Il vous faudra au moins 5 couleurs pour tricoter l’étole Jogakbo, mais rien ne vous empêche d’en utiliser davantage. C’est donc un projet idéal pour utiliser vos restes de mohair et soie.

Cette étole a la forme d’un long rectangle. Elle ne comporte aucune difficulté, puisqu’elle se tricote entièrement en jersey endroit (à l’exception des bordures au point mousse).

Tout est dans la succession des couleurs et des motifs. Sept motifs différents vous sont proposés dans ce modèle, mais vous êtes invités à jouer et à créer une étole unique en changeant les couleurs et l’ordre des motifs, à les allonger ou les raccourcir, à insérer des sections unies, et même à créer vos propres motifs sur le modèle de ceux qui sont proposés.

J’ai conçu cette étole comme un modèle ludique, dont je vous incite à vous emparer pour en réaliser une version tout à fait personnelle.

Sur la version que j’ai réalisée, dans des couleurs pastels, je trouve que cela forme comme un tableau, une sorte de paysage abstrait. Qu’en pensez-vous ?

Et petite surprise dans le magazine Knotions où cette étole est publiée : vous pouvez lire une interview de moi !