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Anglesqueville

Je suis très heureuse de vous présenter aujourd’hui mon dernier design de châle : Anglesqueville.

Un design qui me tient à coeur, dans lequel j’ai mis beaucoup d’amour. J’ai tricoté le premier prototype il y a plus d’un an, pour l’offrir à une de mes tantes, pour laquelle j’ai beaucoup d’affection. J’avais choisi des nuances de beige et de rose/rouge, dans un superbe fil de Heidi Idea (qui a malheureusement dû arrêter son activité de teinture), le Baby Camel et soie (donc un mélange soie et chameau). Un fil de toute beauté, un régal à tricoter et un rendu magnifique:

J’ai tellement eu de plaisir à réaliser ce châle que j’ai voulu en faire un deuxième – pour moi – ce qui m’a aussi permis de mettre au point les explications. Cette fois, j’ai choisi un ensemble de couleurs totalement différent, mais qui me plaît énormément aussi : deux écheveaux d’Abri de La Pelote Vagabonde (coloris Golden Hour et Lichen) et un écheveau des Petits Points Parisiens (coloris Luxembourg). Ces trois écheveaux étaient déjà rangés ensemble dans mes tiroirs et attendaient le bon projet…

Il vous faut donc trois écheveaux de fil fingering pour tricoter ce châle et vous utiliserez ces trois écheveaux presque entièrement. C’est dire si ce châle est ample : environ 222 cm pour la longueur la plus longue et 71 cm pour la hauteur.

Ce châle alterne des sections au point mousse, qui sont tricotées en uni ou avec deux couleurs, et des sections de dentelle, une pour chaque couleur. Ces trois sections de dentelle comportent un motif différent. On ne s’ennuie donc pas !

La forme de ce châle est un triangle asymétrique. Il se commence par la pointe. On fait d’abord des augmentations sur les deux côtés et des diminutions le long d’une ligne centrale. Puis, à la fin, on ne fait plus les augmentations que d’un côté.

J’ai eu beaucoup de plaisir à tricoter ce châle et il m’a déjà accompagné lors de plusieurs matinées fraîches au cours de ce printemps. Il est très enveloppant en raison de son ampleur, mais aussi léger et délicat grâce à ses sections de dentelle.

J’espère que vous aurez autant de plaisir à le faire que moi. Profitez d’une réduction de 20% sur ce modèle jusqu’au 31 mai, sur Ravelry et Payhip avec le code « Angles » !

Glorieuses

Mon premier modèle de 2023 est un modèle de… chaussettes !

Voici donc les chaussettes Glorieuses ! En fait, ce modèle était déjà disponible pour certains d’entre vous dès 2022. Pour mes testeuses, bien sûr, mais aussi pour ceux qui se sont procuré la box Chaussettes pour débutants de Vulcan Yarn.

Comme ce sont des chaussettes destinées aux débutants, je vous propose un modèle simple à réaliser. Mais attention ! simple ne veut pas dire ennuyant ! Ces chaussettes sont très accessibles, mais elles conviendront aussi à ceux qui ont déjà plusieurs paires à leur actif.

Ceci grâce au motif texturé présent sur le dessus du pied. Un motif facile à mémoriser, mais très addictif.

Ces chaussettes se tricotent en partant des orteils, pour terminer aux mollets, à la hauteur qui vous conviendra – c’est l’avantage des chaussettes commencées par les orteils (dites aussi « toe up »), on peut les essayer au fur et à mesure. Elles comportent un talon avec gousset et talon renforcé.

La cheville est tricotée en côtes 2/1 (2 m. endr., 1 m. env.) pour s’aligner avec le motif du dessus de pied et pour bien tenir tout en étant élastique.

Ces chaussettes sont disponibles en 7 tailles: 2XS/XS (S/M/L/XL/2XL), en fonction de la largeur du pied : 16/18 (20/22/24/26/28) cm de circonférence, mesurée à l’endroit le plus large, soit au début des orteils. Les tailles 2XS et XS conviennent aux enfants.
Et les explications donnent les mesures pour 21 pointures : 25, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 45.
De quoi en faire pour toute la famille !

Pour tricoter ces chaussettes, il vous faudra un kit chaussettes ou de la laine fingering à chaussettes en deux couleurs : 100/120 (140/160/180/200/220) mètres pour le coloris principal et 55/60 (65/70/75/80/90) mètres pour le coloris contrastant.

J’avais choisi le kit « Tropical » pour tricoter les miennes.

C’est ce coloris qui m’a inspirée le nom de ce modèle. Ses teintes m’ont fait penser aux rivages de l’océan Indien et de ses îles. Connaissez-vous les Glorieuses ? Il s’agit d’un archipel de l’océan Indien, situé au nord de Madagascar. Il est inhabité et abrite notamment une espèce de tortues protégées.

Pour la petite histoire, j’ai pris ces chaussettes en photo l’été dernier, sur une plage en Tunisie, donc pas sur une plage de l’océan Indien – j’aurais bien aimé, mais ce n’était pas au programme ! Il y avait quand même le sable, la mer bleue et les parasols… Il fallait juste faire fi des regards surpris de mes voisins de plage, sans doute étonnés de me voir porter des chaussettes dans le sable !!!

2023

Avec ce dernier projet réalisé en 2022, je vous souhaite une très belle année 2023 !

Pour une fois, j’ai utilisé un crochet, ce qui n’est pas très courant chez moi…

J’ai utilisé un modèle de Drops, qui est en anglais, mais pour lequel il y a une vidéo qui montre toutes les étapes, ce qui permet donc de crocheter facilement cette étoile, même sans connaître l’anglais.

Le modèle est prévu pour être réalisé dans un fil de coton, mais j’ai choisi de le faire en Kidsilk haze de Rowan, pour un effet plus vaporeux.

A l’image de cette étoile, je vous souhaite une année 2023 toute en douceur et délicatesse !

Le pull de Noël

Noël approchait ; il fallait qu’elle se dépêche. Elle n’avait pas encore fini le pull qu’elle avait promis à son fils. Elle défit quelques mailles : elle avait oublié de prendre le fil rouge. Trois mailles en rouge, une maille en vert, trois mailles en rouge, une maille en vert… Sans lâcher ses aiguilles, elle jeta un coup d’œil furtif à l’horloge accrochée au-dessus du buffet. 23h15. « Je vais y passer la nuit ! » Pourquoi s’y prenait-elle toujours au dernier moment ? Pourquoi avait-elle choisi ce modèle qu’elle avait vu cent fois sur les réseaux sociaux ? Il n’était pas si simple finalement. Maintenant, le fil blanc. Un rang endroit, un rang envers. Ne pas oublier de faire les diminutions. Le poêle ronronnait. De temps à autre, une flammèche s’échappait de la grosse bûche posée en son centre. Le cliquetis régulier des aiguilles se croisant formait une petite musique répétitive, presque une litanie. Les doigts continuaient leur mouvement machinalement, des mailles envers, des mailles endroit, le fil rouge, le fil vert, on recommence. Ses paupières se fermaient doucement, elle ne pouvait plus résister au sommeil qui l’engourdissait peu à peu. Lorsqu’elle rouvrit les yeux, elle aperçut trois poils qu’elle n’avait jamais vus sur sa main gauche. Ils étaient plutôt épais et formaient une boucle blanche. Elle arrivait aux côtes de la première manche. Une maille endroit, une maille envers. Encore quelques rangs. Elle s’étira. Ses pieds lui paraissaient lourds comme s’ils étaient chaussés de sabots. En les reposant sur le sol, ils firent un bruit sourd. Plus qu’une manche. Son dos la démangeait. Elle glissa ses doigts dans l’épaisse toison et se gratta l’échine. Deux rangs en rouge, puis le fil vert. Ne pas se tromper. Ne pas oublier les diminutions. 2, 4, 6, 8, 10, 12… Le compte était bon. Continuer. Maintenant, les mailles envers. Elle bailla. Elle bêla. Les aiguilles glissaient de ses sabots. Plus que les côtes. Une maille endroit, une maille envers. La tête lourde. Les mouvements de sa machoires suivaient ceux des aiguilles, ses dents du bas allant vers la gauche tandis que celles du haut partaient vers la droite. Une maille endroit, une maille envers. Ses lunettes tombaient de son long nez arqué. Une maille endroit, passer la maille précédente par-dessus. C’était bientôt fini. Elle passa la pelote dans la boucle de la dernière maille. Tira le fil. Elle pencha son corps alourdi par sa toison blanche et bouclée pour attraper ses ciseaux. D’un mouvement sec, elle coupa le fil. Un rai de lumière s’infiltra à travers les volets. Clignant des paupières, elle aperçut tout autour d’elle des tas de poils blancs et frisés qui jonchaient le col.

Christine.

Ce texte est protégé par le droit d’auteur. Merci de ne pas le copier,
même partiellement, ni de le diffuser.

Zig et Zag

Aujourd’hui, je vous propose un nouveau modèle de chaussettes. Ou plutôt deux !

Les chaussettes Zig et Zag:

Tout a commencé aux Estivales de la laine, l’été dernier. Sur le stand de Lylysurunfil, ma fille et moi avons chacune choisi un écheveau de laine à chaussettes. Quelques mois plus tard, nous voici chacune avec une paire de chaussettes, pas tout à fait les mêmes, pas tout à fait différentes.

Ces deux modèles ont la même construction: en partant des orteils, avec un talon renforcé avec gousset. Elles comportent toutes les deux aussi des fausses torsades. Ce sont des torsades réalisées sans aiguille auxiliaire et sans croiser de mailles. En fait, elles sont créées par un jeu de diminutions et d’augmentations. Elles sont donc très faciles à faire.

Zig (voir ci-dessus) a deux fausses torsades sur le bord extérieur de chaque pied.

Zag a une fausse torsade de chaque côté des deux pieds. Vous suivez ?

Ces différents motifs de fausses torsades sont expliqués par diagramme.

Zig et Zag sont disponibles en 5 tailles adultes: S, M, L, XL et 2XL, pour une largeur de pied de 20/22 (24/26/28) cm de circonférence, mesurée à l’endroit le plus large.

Les explications comprennent les dimensions pour 11 pointures, du 35 au 45.

Pour fêter la sortie de ces deux modèles, j’ai décidé de vous offrir 20% de réduction sur tous mes modèles de chaussettes jusqu’au 15 décembre. C’est sur Ravelry et avec le code ZigZag (attention aux majuscules !). Il est encore temps de tricoter une paire de chaussettes à offrir à Noël, ou tout simplement pour se réchauffer les pieds !

Nigelle Vest

Si vous êtes au Knit Eat de Lyon ce week-end, vous aurez la chance de le voir en vrai.

Moi j’ai eu la chance de le créer, de le tricoter et bientôt de le porter (bon je l’ai déjà porté pour les photos, mais il faisait encore un peu chaud à ce moment-là, donc pas très longtemps).

Voici Nigelle Vest:

Comme son nom, ce petit pull partage avec le gilet Nigelle le même point dentelle. Il m’avait tellement plu que j’ai voulu le réutiliser sur un autre modèle. A vrai dire, l’idée nous est venu en même temps, à moi et à Anne des Petits Points Parisiens, de reprendre ce point pour un pull sans manche. Elle m’a donc généreusement fourni le fil et ce modèle sort aujourd’hui en collaboration à l’occasion du Knit Eat.

Ce fil, c’est aussi le même que pour le gilet : son Mohair et Soie, toujours tricoté en double. Quand on goûte une fois à cette douceur, on a du mal à ne pas y replonger…

Cette fois, j’ai choisi le coloris « Beige rosé », un beige doux agrémenté de taches de couleurs plus foncées ou tirant vers le rose. Un coloris sublime, comme tous ceux d’Anne.

J’ai voulu un pull un peu ample, qui soit agréable à porter et décontracté, tout en étant précieux par sa matière. Les emmanchures sont délibérément assez larges, pour que vous puissiez être à l’aise en portant même vos chemisiers à manches larges.

Il se tricote de bas en haut, d’abord en rond jusqu’aux emmanchures, puis en aller retour, sur le devant, puis sur le dos. Une fois les épaules jointes, il ne vous reste plus qu’à relever des mailles pour le col et les bordures d’emmanchures.

Le pull Nigelle Vest est disponible en 13 tailles, pour des tours de poitrine allant de 75 à 145 cm (en prévoyant une aisance positive de 5 à 10 cm). Suivant la taille, il vous faudra de 1400 à 2300 mètres de fil mohair et soie tricoté en double.

Le point dentelle est expliqué par diagramme. Il est très simple à faire et à retenir, car très répétitif en fait. C’est un modèle tout à fait accessible.

Et surtout très agréable à faire et à porter. Je dirais que c’est vraiment un tricot réconfortant, parfait pour se couler doucement dans la nouvelle saison et l’aborder façon cocooning…

Pour vous aider à profiter de ces doux moments automnaux, Nigelle Vest est à -20% jusqu’au 5 octobre, sur Ravelry et Payhip, avec le code « Nigvest ».

Coryphée

Je vous présente mon dernier modèle pour fille : un superbe cache-coeur tout en douceur et en féminité.

La douceur vient du fil mohair et soie tricoté en double, qui lui apporte aussi de la chaleur, mais avec une grande légèreté. J’ai choisi le fil Petit Duvet de Le Chat qui tricote, dans le coloris « chamallow ».

La touche de féminité et d’élégance est apportée par la jolie bordure en feuille, qui est tricotée en fil fingering, tout comme les liens en icord. Ici, j’ai choisi la Félicette, toujours de Le Chat qui tricote, dans le même coloris. Comme la Félicette contient de la stellina, il y a un petit côté paillettes, mais très discret.

Ce cache-coeur se tricote de haut en bas, avec des emmanchures raglan. Il est très simple à faire. Une fois fini, il ne reste plus qu’à tricoter la bande de feuilles puis de la coudre tout le long de l’encolure.

Ce modèle est disponible dans les tailles 2-4-6-8-10-12 ans. Je ne suis pas allée au-delà, car je prévois une version adulte. Vous seriez partantes ?

Pour le réaliser, il vous faudra environ 950 (1000/1050/1150/1250/1300) mètres de fil lace mohair et soie tricoté en double et 60 (70/80/90/100/120) mètres de fil fingering pour la bordure. Ainsi que des aiguilles 3 et 3.5 mm.

La bonne nouvelle ? Coryphée est à -20% jusqu’au 27 septembre sur Ravelry et sur Payhip, avec le code « CORY » !

Au fait, savez-vous ce qu’est un coryphée (oui « un », c’est un nom masculin) ? il s’agit du deuxième échelon dans le corps de ballet de l’opéra de Paris.

Le nid

Pour changer un peu, aujourd’hui, je vous livre un petit texte que j’ai écrit au retour des vacances. Un peu de lecture pour prolonger les souvenirs…

Nous étions arrivés à la maison des vacances. La maison des cousins. Des jeux dans la cour, des parties de cartes endiablées, des discussions tard dans la nuit, allongés sur des matelas sous la voûte étoilée.

Tout de suite le plus jeune a voulu nous les montrer: deux bébés pigeons nichaient dans une ouverture du mur des toilettes. Deux bébés pigeons au duvet humide et aux yeux aveugles. L’un était blanc et l’autre gris. Leurs parents veillaient sur eux depuis le toit.

Pendant le petit-déjeuner, attablés dans la partie de la cour encore ombragée, nous regardions les parents venir les nourrir tour à tour. D’abord la mère, au plumage blanc tacheté de brun. Puis le père, un beau pigeon gris sombre aux pattes emplumées.

En fin d’après-midi, quand le soleil se faisait moins chaud et que nous installions les matelas dans la cour, le ballet reprenait. C’était désormais plusieurs couples de pigeons qui volaient et tournoyaient au-dessus de la maison, d’un toit à l’autre. Sûrement, d’autres petits attendaient dans leur nid, caché dans un autre mur et pas encore découvert.

Après quelques jours passés à la mer, nous avons retrouvé les bébés pigeons bien grandis. A leur duvet de poussins avait succédé un vrai plumage de plumes lisses. De temps en temps, ils s’étiraient les ailes. L’envie de voler les démangeait-elle?

Le ballet de leurs parents continuait, désormais accueilli par de vifs
piaillements. Le gris se montrait le plus actif, tournant et retournant sans
cesse sur son nid.

Un jour, la tante l’attrapa et nous pûmes le voir de plus près. A l’arrière
de sa tête son plumage se parait de reflets moirés bleus et violets. Les
enfants étaient à la fois excités et un peu effrayés de caresser l’oiseau qui
battait des ailes. Relâché, il parvint à voler quelques mètres pour se réfugier
sur le rebord d’une fenêtre. La tante l’attrapa de nouveau et le remit dans son
nid. Quelques jours plus tard, il prit son envol et rejoignit la cohorte de
pigeons adultes qui volaient au-dessus de la cour.

Ce matin, nous faisons nos valises. C’est l’heure de dire au revoir, de se
prendre une dernière fois dans les bras, de se dire merci avec les yeux pour
les bons moments passés ensemble. De fermer à clef la porte de la maison aux
souvenirs.

Ce matin, à son tour, le petit pigeon blanc à quitté le nid.

Ce texte est protégé par le droit d’auteur. Merci de ne pas le copier,
même partiellement, ni de le diffuser.

Kelibia

Je viens de publier un nouveau modèle de top d’été pour femmes : Kelibia !

C’est un top d’été facile à réaliser et très agréable à porter.

Il se tricote de bas en haut, avec pour commencer une large bande de dentelle qui couvre tout le dessous du buste, y compris dans le dos. Cette dentelle est ensuite poursuivie sur les côtés et jusqu’aux bordures d’emmanchures. Le reste est tricoté en jersey endroit et au point mousse (pour les bordures).

Kelibia se tricote en fil fingering. J’ai utilisé la Bio balance de BC Garn, un mélange de laine (55%) et de coton (45%), qui existe dans une jolie palette de couleurs – j’ai choisi du bleu, quelle surprise !

Kelibia est disponible en 10 tailles et est conçu pour être porté avec une aisance positive de 5 à 10 cm. Les tours de poitrine du top fini vont de 84 à 137 cm.

En fonction de la taille, il vous faudra entre 600 et 1200 mètres de fil fingering, tricoté aux aiguilles 3 mm.

Vous pouvez retrouver Kelibia sur Ravelry (avec une réduction de 20% jusqu’au 10 juillet), sur Payhip et sur Lovecrafts.

Une version pour filles va sortir très bientôt !!!

Torsades sans aiguille

J’ai tricoté une nouvelle paire de mitaines Ricochets et je me suis dit que c’était la bonne occasion pour essayer de faire une petite vidéo pour vous montrer comment faire des torsades sans aiguille et sans lâcher de maille.

D’abord, voici les mitaines:

Pour les mailles croisées sur le dessus, pas besoin d’aiguille à torsades ! il y a un moyen très simple de faire ces mini torsades sans avoir une troisième aiguille qui encombre les mains, mais aussi sans lâcher de maille et risquer qu’elle se détricote.

J’ai tourné une petite vidéo – c’est ma première, alors soyez indulgents ! – et je l’ai postée sur Facebook et Instagram, où vous pouvez la retrouver facilement.

J’ai tricoté cette paire de mitaines pour l’offrir à la maîtresse de ma fille comme cadeau de fin d’année.

Elles sont tricotées en (vi)laines Chaussettes, coloris « A la pêche aux coquillage », un coloris que j’adore – et ça tombe bien, il me reste encore plus de la moitié de l’écheveau, largement de quoi faire une autre paire de mitaines ou des chaussettes!

Vous pouvez retrouver le patron sur Ravelry, Payhip ou encore Lovecrafts.